Situé au centre de Genève, Quai Wilson, face au lac et au Mont Blanc, The
Woodward jouit d’un emplacement exceptionnel dans un bâtiment historique,
au style post-haussmannien. Un peu plus d’un siècle après son inauguration, le bâtiment du 37 quai Wilson retrouve sa vocation première. Il ouvrira le premier septembre. Cette bâtisse historique, construite en 1901 par François Durel. Baptisée L’Hôtel Bellevue, l’institution a par la suite laissé la place à une banque privée, avant d’être rachetée par le groupe Bastion Holdings, lui redonnant aujourd’hui son fast d’antan. Il fait partie d’Oetker Collection qui comprend 11 hôtels, dont Le Bristol Paris.

L’établissement a été entièrement rénové par le cabinet d’architecture de Pierre-Yves Rochon avec 26 suites spacieuses au style raffiné et contemporain, il comprend deux restaurants gastronomiques signés par les chefs Alain Verzeroli et Olivier Jean, dont L’Atelier de Joël Robuchon, unique adresse en Suisse.

À l’offre culinaire s’ajoute le  Club Woodward, composé d’un espace fitness ainsi que d’un spa Guerlain, première adresse de la prestigieuse marque française en Suisse. Confidentiel et exclusif, le club se déploie sur plus de 1 200 m2. Son accès est réservé aux clients de l’hôtel, ainsi qu’aux membres, 90 très exactement. En plus de sa piscine intérieure de 21 mètres, la plus longue piscine privée à Genève, le Spa dispose d’une salle de sport ultramoderne, deux saunas, deux hammams, deux bains suédois, un jacuzzi, ainsi que six suites bien-être, dont une cabine double. Soit deux étages entièrement consacrés à la détente avec un riche programme de soins.

Après une rénovation d’envergure, orchestrée par l’architecte d’intérieur Pierre-Yves Rochon, le nouveau cinq étoiles renferme, toutes les caractéristiques d’un grand hôtel Belle Époque. Après avoir passé la massive porte d’entrée, en fer forgé et décorée à la main à la feuille d’or, le visiteur emprunte un ascenseur le menant vers la réception de l’hôtel. Les murs habillés d’ébène de Macassar et les sols recouverts de soyeuses moquettes confèrent à l’ensemble du lieu, l’ambiance chaleureuse d’une maison de haut standing. De là, il suffit de faire quelques pas pour se retrouver plongé dans le salon principal, où le velours des canapés Pierre-Yves Rochon répond à un monumental tapis népalais noué à la main. Un miroir doré à la française et un lustre en cristal de Baccarat rendent quant à eux hommage au passé glorieux de l’établissement, le tout rehaussé de touches plus modernes, à l’image de cette table en bronze de Hervé Van der Straeten. (htr/aca)