Claude Membrez, vous avez dû l’an dernier accuser deux coups durs: la disparition définitive du Salon de l’auto et l’attribution de l’Eurovision à Bâle. Comment abordez-vous cette nouvelle année sans ces deux rendez-vous à l’affiche? Il n’y a aucun rapport entre les deux, si ce n’est qu’ils se seraient déroulés à Palexpo. Si on veut être négatif, il y a plein d’autres événements que nous avons essayé d’obtenir mais…

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