Votre définition du Grand Hôtel des Rasses?
Bâtisse empreinte d’histoire, au milieu d’un panorama authentique, du Mont Blanc au Chasseron, avec la nature comme fil rouge.

Ce que signifie le Jura vaudois pour vous?

Les paysages, le terroir, la tradition.

Le dénominateur commun à chef de rang et directeur d’hôtel?

Un service personnalisé pour chacun de nos hôtes.

Le plat que vous préférez cuisiner?

Aucun plat en particulier, mais j’aime bien cuisiner en amateur.

Un autre hôtel historique qui vous inspire?

Le Grandhotel Giessbach à Brienz. Il complète le paysage tout comme notre hôtel.

Une source d’énergie et de motivation?

L’autonomie, la cohésion d’équipe et la reconnaissance au quotidien.

Votre mot préféré?

Sincérité.

Le mot que vous détestez?

Bonne chance.

Votre drogue favorite?

Les voyages.

Le son, le bruit que vous aimez?

La pluie.

Votre juron, gros mot ou blasphème favori?

Je pense que ma famille va lire, donc «fichtre».

Femme ou homme pour illustrer un nouveau billet de banque?

Me servir d’un Coluche pour payer ma baguette me conviendrait.

Le métier que vous n’auriez pas aimé faire?

Acteur de téléréalité.

La plante, l’arbre ou l’animal dans lequel vous aimeriez être réincarné?

Dans tous les cas, quelque chose de vivace.

Si Dieu existe, qu’aimeriez-vous l’entendre vous dire après votre mort?

Que Dieu existe…

Fidèle au Grand Hôtel du Jura vaudois
Nicolas Rollin a rejoint le Grand Hôtel des Rasses en 2016. D’abord adjoint de direction, il a été nommé directeur de l’hôtel 3 étoiles supérieur du groupe Boas en septembre 2023. Entre ces deux postes, il a dirigé durant quelques mois le Swiss Evolife à Saint-Aubin-Sauges.

Originaire de Besançon et titulaire d’un baccalauréat professionnel en hôtellerie-restauration, il a débuté comme commis à la Maison Lameloise, un 3 étoiles Michelin en Bourgogne. Il a ensuite rejoint le Royal Savoy à Lausanne comme chef de rang, puis le restaurant De Courten à Martigny, 2 étoiles Michelin, dans la même fonction.