Vera Weber, vous rappelez-vous votre première visite au domaine de Giessbach? Oui! Je devais avoir environ huit ans. La maison avait souffert, les portes étaient fermées à clé, la peinture des volets s’écaillait, toute activité avait cessé. Si l’éclat du Grand Hôtel avait disparu, le bâtiment avait cependant conservé quelque chose de magique, de mystique. C’était un endroit extraordinaire, mais comme plongé dans un…